Joie et santé Agneaux

Lundi 3, on entame l'avant-dernier mois de l'année. Après, c'est Noël... Chouette !!!! Au fait, avez-vous fait votre lettre au Père Noël ? Moi, je lui ai demandé de prendre soin de vous !

La grande randonnée, avec Catherine à sa tête, partira de Marigny à 13h45. Rendez-vous sur le parking de l'étang de Marigny.

La moyenne, derrière Alain et son drapeau rouge, partira de La Barre-de-Semilly. Rendez-vous sur le parking du terrain de football de La Barre.

La petite, avec Thérèse de retour, partira d'Agneaux. Rendez-vous sur le parking du complexe sportif d'Agneaux, avenue Sainte-Marie. 

La marche nordique reprendra vendredi 7 novembre à Hébécrevon. Rendez-vous sur le parking du terrain de football local. 
 

Pourquoi tant d’individualisme dans ce monde de fou ?

Nous vivons dans un monde où chacun court, mais rarement dans la même direction.
L’individualisme n’est plus une simple tendance, c’est devenu presque une norme, un réflexe de survie dans une société où tout va trop vite, où tout se mesure, se compare, se met en scène.

Autrefois, on vivait « ensemble » parce que le collectif était nécessaire : la famille, le voisinage, la communauté donnaient un sens, un cadre, une chaleur. Aujourd’hui, on vit « côte à côte », connectés à tous, mais reliés à personne. Les réseaux sociaux nous promettent la proximité. Mais, souvent, ils ne font qu’amplifier l’écho de notre propre voix. On se montre, on se vend, on se protège derrière une image.

L’individualisme, c’est aussi le symptôme d’un monde qui a peur : peur de manquer, peur d’être oublié, peur de ne pas exister. Alors on se recentre sur soi, on construit sa bulle, on érige des frontières invisibles.
Mais, au fond, cette course au « moi » cache souvent un profond besoin de « nous ».

Peut-être qu’un jour, on comprendra que s’aimer soi-même ne doit pas signifier ignorer les autres. Que l’indépendance n’est pas l’ennemie de la solidarité. Et que dans ce monde de fou, la plus belle rébellion serait peut-être de tendre la main, au lieu de détourner le regard.

P.L.