Les marcheurs, comme les feuilles, se ramassent à la pelle !
Que ce soit du côté saint-gillais où les chemins étaient quelque peu humides ou du côté
condéen où le parcours aurait pu se faire en pantoufles, nous étions prés de 70 à marcher lundi dans les pas de Thérèse ou d'Alain. Histoire de prendre l'air et de profiter de températures encore clémentes. Et même si l'humidité ambiante a encouragé certains à sortir tour de cou et passe-montagne, il n'en reste pas moins que le temps était idéal pour arpenter les chemins du Saint-Lois.
Mardi, au départ de Baudre, ils étaient neuf marcheurs nordiques, partis eux aussi, découvrir les chemins locaux. Bâtons en main.
Par ailleurs, à l'issue de la grande randonnée, lundi, l'un ou l'une d'entre-vous s'est trompé de bâtons de marche : il ou elle a pris ceux d'Annick Marie. C'est Pascal qui détient les clones des objets du rapt ! Voire avec lui.